“Mati Diop revient avec ce magnifique documentaire protéiforme et polyphonique.” Le Journal du Dimanche

“Poème et pamphlet, documentaire et film fantastique, acte de cinéma puissamment décolonial, Dahomey invente un cinéma politique magique.” Les Inrockuptibles

“Une envoûtante réussite.” Libération

“Passionnant.” Ouest France

“Au-delà du sujet absolument contemporain, c’est la forme qui impressionne. En donnant une voix aux impressionnantes statues, Mati Diop leur redonne une dignité, une force et une existence.” Paris Match

“Dahomey traite son sujet avec autant d’intelligence que de poésie.” Bande à part

“Ours d’Or à Berlin, le second long métrage de Mati Diop confirme la volonté de la cinéaste franco-sénégalaise de déconstruire les genres, insufflant de la fiction et du fantastique à son documentaire sur la restitution au Bénin d’œuvres dérobées pendant la conquête coloniale française.” L’Humanité

“Dans cette œuvre cinématographique à la temporalité presque onirique, Mati Diop interroge l’identité, l’origine et l’histoire à travers le prisme des fantômes de l’art.” Le Dauphiné Libéré

“En suivant la restitution par la France de vingt-six trésors royaux du Dahomey au Bénin, Mati Diop signe un film d’une brièveté inversement proportionnelle à la richesse de son discours. Et signe un passionnant précipité de pensée postcoloniale.” Les Fiches du Cinéma

“Un film aux vertus puissantes et ensorcelantes.” Marie Claire

“Autour des œuvres restituées au Bénin par la France, une réflexion profonde sur l’art et la colonisation.” Télérama

“Un grand film de femmes, énergique et touchant.” Télérama

“Western amoureux ou faux polar, comédie ou mélo, le film est habité par le vif désir de tout foutre en l’air.” Les Inrockuptibles 

“Un formidable film d’actrices. Une douceur qui irradie.” Franceinfo

“Un ballet des sentiments piquant et sensible. Une histoire d’amitié et de libération.” La Vie

“Patricia Mazuy déjoue les codes du film social, avec la liberté comme ligne d’horizon.” Zoé Sfez, France Culture

“Une amitié improbable et réparatrice, qui ne sombre jamais dans la naïveté ou l’utopie.” Madame Figaro

COMMUNIQUÉ DES FILMS DU LOSANGE

Disparue le 7 août 2024, Margaret Menegoz a dirigé Les Films du Losange pendant quarante-six années, de 1975 à 2021 : une longévité exceptionnelle dans le paysage français et bien au-delà. Autodidacte, elle était venue au cinéma par la fabrication des films, y avait rencontré son époux, Robert Menegoz, avait sillonné le monde avec lui pour tourner des documentaires, avant de rejoindre en 1975 Les Films du Losange, comme “aide à tout-faire” auprès de Eric Rohmer et Barbet Schroeder. Un an seulement après son entrée dans la société, elle en devenait gérante. Sous sa direction, Les Films du Losange a pris l’ampleur d’un studio indépendant européen, vainqueur d’un Oscar, de trois Palmes d’Or à Cannes et des plus hautes récompenses dans les festivals du monde entier.

Jamais son attachement à la fabrication d’un film ne l’aura quittée. Elle disait “se mêler de tout”, suivant avec précision chaque étape, main dans la main avec le réalisateur, depuis le scénario jusqu’à la sortie en salles, en passant par le développement, la préparation, le casting, le plan de travail, l’écoute des comédiens, la post-production ou les sous-titres anglais et allemands qu’elle relisait un à un.


Son amour des films et du travail, sa fidélité aux auteurs sont devenus les marques de fabrique des Films du Losange. Ne disait-elle pas qu’on ne doit jamais quitter un auteur dans un échec ? Il faut au contraire tenter de reconstruire. “On met des années pour bâtir la confiance avec un auteur, mais on peut la perdre en une journée. Tout se gagne par le travail”, répétait-elle. 


La porte de son bureau était toujours ouverte : à ses collaborateurs, qu’elle fidélisait et choyait, aux artistes, à ses confrères, avec lesquels elle partageait son expérience sur les coproductions. Son ouverture d’esprit était aussi tournée vers l’Europe et l’international, qu’elle chérissait particulièrement. Elle a toujours su donner de son temps à toute une profession, s’engageant à Unifrance, aux César, à l’European Film Academy…


Il était une phrase qu’elle disait souvent : “Un film n’est pas fait pour être sur une étagère. Il est fait pour être vu, toujours et partout.” Elle a su faire des Films du Losange une société indépendante non seulement de production, mais aussi de distribution et de ventes internationales, avec un catalogue toujours vivant.


Sa belle voix grave et son accent, uniques, nous manquent terriblement.


Toute l’équipe des Films du Losange, qui a tant appris à ses côtés, présente ses plus sincères condoléances à sa famille et ses proches.

Les Films du Losange ont appris avec une grande tristesse la disparition du grand cinéaste géorgien Otar Iosseliani ce dimanche 17 décembre à Tbilissi.

24 de ses films figurent dans les collections des Films du Losange, dont ANSELM, qui sortira pendant le Festival Lumière, le 18 octobre.

Le réalisateur allemand recevra le 15e Prix Lumière, remis lors du Festival Lumière qui se tiendra à Lyon du 14 au 22 octobre 2023.

Nous nous réjouissons de cette prestigieuse distinction qui récompense un immense cinéaste et le travail entrepris sur la restauration et la diffusion de son œuvre, avec la Wim Wenders Foundation.

ANSELM, son nouveau film présenté au dernier Festival de Cannes et produit par Road Movies sera en salles le 18 octobre. Il s’agit d’une expérience cinématographique unique, qui permet de s’immerger complétement dans le monde de l’un des plus grands artistes contemporains, Anselm Kiefer. Wim Wenders a tourné ce portrait unique pendant deux ans dans une 3D époustouflante.

Le prix honorifique a été remis au cinéaste par surprise ce samedi 5 août lors de la première mondiale de son nouveau film, RICARDO ET LA PEINTURE.

Le cinéaste était notamment entouré de ses producteurs de Bande à Part Films et des Films du Losange, de l’ami dont il fait le portrait, le peintre Ricardo Cavallo, et de sa compagne, l’actrice légendaire Bulle Ogier.

RICARDO ET LA PEINTURE est le portrait que nous propose Barbet Schroeder de son ami Ricardo Cavallo, qui consacre sa vie à la peinture. De Buenos Aires au Finistère, en passant par Paris et le Pérou, ce film est une invitation à plonger dans l’histoire de la peinture, mais aussi à découvrir la vie de cet homme exceptionnel qui, avec simplicité et humilité, s’est toujours engagé entièrement, jusqu’à transmettre sa passion aux enfants de son village.

Au cinéma le 15 novembre