« Génialement dingue. » Première

« L’un des plus beaux films français vus depuis longtemps. » Le Monde

“Magistral.» Cahiers du Cinéma

« Un polar unique en son genre. » Konbini

« Un polar drôle et incisif. » Elle

« Une valse des interdits menée avec une corruptrice et délectable suavité. » La Septième Obsession

« Joyeusement inquiétant. » Les Echos

« Un film perturbant et délirant, qui explore les mystères du désir. » Télérama

« Drôle et enjoué. Une réussite totale. » aVoir-aLire.com

« Un polar qui combine Hitchcock et Bergman avec une sensualité et une audace réjouissantes. » La Tribune

« Un film qui fait trembler votre manière de voir les choses. » Rebecca Manzoni – France Inter

« Catherine Frot, déconcertante de drôlerie. » Rolling Stone

« Extraordinaire. » Marie Claire

« Guiraudie en état de grâce. » L’Humanité

« Des abîmes de beauté et d’ambiguïté dingues. » Libération

« Un petit joyau. » Culturopoing

« Voir MISERICORDE, c’est constater à quel point Guiraudie est un essentiel du cinéma français. » Trois Couleurs

“Mati Diop revient avec ce magnifique documentaire protéiforme et polyphonique.” Le Journal du Dimanche

“Poème et pamphlet, documentaire et film fantastique, acte de cinéma puissamment décolonial, Dahomey invente un cinéma politique magique.” Les Inrockuptibles

“Une envoûtante réussite.” Libération

“Passionnant.” Ouest France

“Au-delà du sujet absolument contemporain, c’est la forme qui impressionne. En donnant une voix aux impressionnantes statues, Mati Diop leur redonne une dignité, une force et une existence.” Paris Match

“Dahomey traite son sujet avec autant d’intelligence que de poésie.” Bande à part

“Ours d’Or à Berlin, le second long métrage de Mati Diop confirme la volonté de la cinéaste franco-sénégalaise de déconstruire les genres, insufflant de la fiction et du fantastique à son documentaire sur la restitution au Bénin d’œuvres dérobées pendant la conquête coloniale française.” L’Humanité

“Dans cette œuvre cinématographique à la temporalité presque onirique, Mati Diop interroge l’identité, l’origine et l’histoire à travers le prisme des fantômes de l’art.” Le Dauphiné Libéré

“En suivant la restitution par la France de vingt-six trésors royaux du Dahomey au Bénin, Mati Diop signe un film d’une brièveté inversement proportionnelle à la richesse de son discours. Et signe un passionnant précipité de pensée postcoloniale.” Les Fiches du Cinéma

“Un film aux vertus puissantes et ensorcelantes.” Marie Claire

“Autour des œuvres restituées au Bénin par la France, une réflexion profonde sur l’art et la colonisation.” Télérama

“Un grand film de femmes, énergique et touchant.” Télérama

“Western amoureux ou faux polar, comédie ou mélo, le film est habité par le vif désir de tout foutre en l’air.” Les Inrockuptibles 

“Un formidable film d’actrices. Une douceur qui irradie.” Franceinfo

“Un ballet des sentiments piquant et sensible. Une histoire d’amitié et de libération.” La Vie

“Patricia Mazuy déjoue les codes du film social, avec la liberté comme ligne d’horizon.” Zoé Sfez, France Culture

“Une amitié improbable et réparatrice, qui ne sombre jamais dans la naïveté ou l’utopie.” Madame Figaro

COMMUNIQUÉ DES FILMS DU LOSANGE

Disparue le 7 août 2024, Margaret Menegoz a dirigé Les Films du Losange pendant quarante-six années, de 1975 à 2021 : une longévité exceptionnelle dans le paysage français et bien au-delà. Autodidacte, elle était venue au cinéma par la fabrication des films, y avait rencontré son époux, Robert Menegoz, avait sillonné le monde avec lui pour tourner des documentaires, avant de rejoindre en 1975 Les Films du Losange, comme “aide à tout-faire” auprès de Eric Rohmer et Barbet Schroeder. Un an seulement après son entrée dans la société, elle en devenait gérante. Sous sa direction, Les Films du Losange a pris l’ampleur d’un studio indépendant européen, vainqueur d’un Oscar, de trois Palmes d’Or à Cannes et des plus hautes récompenses dans les festivals du monde entier.

Jamais son attachement à la fabrication d’un film ne l’aura quittée. Elle disait “se mêler de tout”, suivant avec précision chaque étape, main dans la main avec le réalisateur, depuis le scénario jusqu’à la sortie en salles, en passant par le développement, la préparation, le casting, le plan de travail, l’écoute des comédiens, la post-production ou les sous-titres anglais et allemands qu’elle relisait un à un.


Son amour des films et du travail, sa fidélité aux auteurs sont devenus les marques de fabrique des Films du Losange. Ne disait-elle pas qu’on ne doit jamais quitter un auteur dans un échec ? Il faut au contraire tenter de reconstruire. “On met des années pour bâtir la confiance avec un auteur, mais on peut la perdre en une journée. Tout se gagne par le travail”, répétait-elle. 


La porte de son bureau était toujours ouverte : à ses collaborateurs, qu’elle fidélisait et choyait, aux artistes, à ses confrères, avec lesquels elle partageait son expérience sur les coproductions. Son ouverture d’esprit était aussi tournée vers l’Europe et l’international, qu’elle chérissait particulièrement. Elle a toujours su donner de son temps à toute une profession, s’engageant à Unifrance, aux César, à l’European Film Academy…


Il était une phrase qu’elle disait souvent : “Un film n’est pas fait pour être sur une étagère. Il est fait pour être vu, toujours et partout.” Elle a su faire des Films du Losange une société indépendante non seulement de production, mais aussi de distribution et de ventes internationales, avec un catalogue toujours vivant.


Sa belle voix grave et son accent, uniques, nous manquent terriblement.


Toute l’équipe des Films du Losange, qui a tant appris à ses côtés, présente ses plus sincères condoléances à sa famille et ses proches.