Le genre même du documentaire est réinventé. C’est un chef-d’œuvre. L’Obs

Du premier plan, qui renvoie à Allemagne année zéro de Rossellini (1947), au rêve qui transforme Kiefer en drôle de funambule, tout Wenders est là. Le Figaro

Magnifique. Le Journal du Dimanche

Le cinéaste allemand consacre un remarquable documentaire à son compatriote Anselm Kiefer, un artiste dont l’oeuvre ne cesse d’évoquer l’histoire et les traumatismes de son pays. Les Echos

Un portrait atypique, tout en déambulation(s) poétique(s), alternant silences éloquents et contemplations redondantes. La magie opère. Les Fiches du Cinéma

Dans ce portrait de l’immense créateur Anselm Kiefer, Wim Wenders offre une magnifique alchimie visuelle, sonore, littéraire et poétique. Un grand Wim Wenders. aVoir-aLire.com