“La grande beauté de « Sur l’Adamant » est ne pas remonter le fil, ne pas chercher l’endroit où il s’est brisé, ne pas décortiquer ses personnages, mais les laisser se déplier, livrer une série de portraits fragiles et magnifiques.” Le Parisien

“Ours d’or mérité à la dernière Berlinale, ce documentaire en forme de laissez-passer dans un centre thérapeutique flottant pose sur ses sujets un regard d’une grande intelligence.” Les Inrockuptibles

“Un documentaire qui nous bouleverse.” La Voix du Nord

“Un documentaire lumineux, récompensé par un ours d’or à Berlin.” Le Figaro

“L’Adamant, repaire d’artistes, vivier de solitudes explosives. Sorte de refuge idéal, d’arche de Noé au cœur de la ville violente, l’Adamant est une bonne nouvelle et l’on comprend que le jury du dernier festival de Berlin ait tenu à la célébrer en remettant l’Ours d’or à Philibert.” Libération

“109 minutes intenses menées avec une grande maîtrise, sans précipitation, en prenant le temps de laisser longuement la parole à chacun. Toute l’humanité de son regard, de son talent de confesseur jamais intrusif nous saute à la figure. Impressionnant.” Première

“Tendre et captivant.” Télé 2 semaines

“Tout ce que filme Riera semble simple, évident, et pourtant, tout vibre, tout palpite, tout est incarné, tout est vraiment regardé comme si c’était la première fois, infusé par un féminisme aussi subtil qu’émouvant.” Transfuge

“Une parabole combinant réalisme social et fantasmagorie féministe, dans une mise en scène rugueuse, sensuelle et envoûtante. Une découverte.” L’Obs

“Une jeune actrice pleine de promesses.” Le Journal du dimanche

“Envoûtant.” Première

Le film est d’une force inédite, et je n’ai jamais rien vu de ma vie d’aussi stupéfiant, d’aussi puissant que De Humani Corporis Fabrica. Transfuge

Véréna Paravel et Lucien Castaing-Taylor explorent l’humain comme personne encore, entre pragmatisme et spiritualité, corporéité et fantastique. CinémaTeaser

De Humani Corporis Fabrica est autant un film sur le corps humain que sur le regard que nous posons sur lui. Critikat

Ce voyage d’une beauté terrifiante, aux confins de l’abstraction, met au jour une terra incognita où les cellules cancéreuses observées au microscope deviennent des tableaux de Pollock. Et le gore de se muer en poésie. Télérama

Une expérience impressionnante. le Figaro

 

Un film envoûtant à la frontière du thriller politique et de l’essai poétique avec un Benoît Magimel magistral. Bande à part

Un film ahurissant. Les Cahiers du Cinéma

Chef-d’œuvre. Le Monde

Une forme d’apogée. Critikat

Du cinéma moderne qui déjoue les figures imposées des scénarios illustrés. Immense comme son acteur principal. Première

Benoît Magimel excelle dans ce grand film vertigineux. Sud Ouest

 

« Léa Seydoux nous emmène vers le sublime. » The Hollywood reporter
« Un film d’une beauté immense. » La Septième obsession
« Pascal Greggory est bouleversant. » Télérama
“L’un des plus beaux films de Mia Hansen-Løve.” Elle
“Mia Hansen-Løve nous cueille littéralement en faisant se croiser deux récits d’une justesse infinie.” La Voix du Nord
“De l’infinie tristesse à la plus éclatante lumière, il n’y a qu’un pas. Mia ­Hansen-Love capte ce mouvement mystérieux avec une délicatesse bouleversante et une troupe d’acteurs magnifiques.” Le Journal du Dimanche
“Sa délicatesse d’écriture y fait une fois encore merveille dans un récit souvent poignant mais non dépourvu d’humour.” Première
“Film mélancolique et lumineux.” Sud Ouest

Alice Diop décroche le Lion d’Argent – Grand Prix du Jury et le Lion du Futur – Prix Luigi de Laurentiis du Meilleur premier film à la 79e Mostra de Venise dès son premier passage à la fiction. Seul premier long-métrage de la compétition cette année, SAINT OMER a mis d’accord la presse française et internationale et emporté les suffrages de deux jurys différents.

César du meilleur court-métrage pour VERS LA TENDRESSE en 2017, célébrée au Centre Pompidou cette année à l’occasion de la sortie de son documentaire NOUS, Alice prolonge une œuvre puissante avec ce récit inspiré de faits réels. Rama, une jeune romancière assiste au procès de Laurence Coly à la cour d’assises de Saint-Omer. Cette dernière est accusée d’avoir tué sa fille de quinze mois en l’abandonnant à la marée montante sur une plage du nord de la France. Mais au cours du procès, la parole de l’accusée, l’écoute des témoignages font vaciller les certitudes de Rama et interrogent notre jugement.

D’après Trois Couleurs, “Alice Diop passe magistralement à la fiction avec un incroyable film de procès. Incisif, fin et envoûtant. Un des gestes les plus entêtants de ce festival.” Pour Télérama, la cinéaste “sonde brillamment les vertiges du lien maternel.” “Bouleversant labyrinthe d’interrogations et d’émotions” d’après Slate.fr, “le film a réussi à faire entrer le monde dans la salle close de son procès, à la faire ressembler à une tête trop pleine qu’il fallait vider pour mieux respirer”, écrit Libération.

Prochainement au cinéma